Parmi les principaux changements en évaluation aux fins de sanction, on retrouve les nouveautés suivantes :
Oui, tout le contenu de la DDE est prescrit. La DDE constitue LE cadre de référence pour l’élaboration de versions subséquentes d’épreuves. Le respect de la DDE assure des versions d’épreuves valides, équivalentes et fiables à travers le réseau.
En conformité avec les définitions du domaine d’évaluation et des guides d’administration des différentes épreuves du programme d’études, la calculatrice graphique ainsi que la calculatrice scientifique sont acceptées lors de la passation des épreuves. Cependant, ces calculatrices ne doivent pas offrir la possibilité de calcul formel. Ainsi, elles ne doivent pas pouvoir ni effectuer des calculs algébriques, ni décomposer une expression algébrique en facteurs, ni résoudre une équation.
De plus, avant et après chaque séance d’évaluation, les données et les programmes stockés dans la mémoire de la calculatrice doivent être effacés.
La DEAFC a rendu disponible un prototype d’épreuves pour tous les cours des trois séquences (CST, TS et SN) de la 3e et de la 5e secondaire. Par ailleurs, un minimum de trois versions d’épreuves édictées a été produit pour tous les cours des trois séquences de la 4e secondaire du programme d’études.
L’élaboration de versions subséquentes d’épreuves en 3e et 4e secondaire relève des commissions scolaires, alors que de nouvelles versions d’épreuves en 4e secondaire sont en production. En 3e et 5e secondaire, les commissions scolaires peuvent élaborer elles-mêmes les épreuves ou peuvent également choisir de mandater la société GRICS (BIM) pour en faire l’élaboration. Dans cette éventualité, le mandat doit d’abord être approuvé par le Comité de planification et de coordination (CPC) de BIM.
Toutefois, pour tous les cas, les versions subséquentes d’épreuves doivent être élaborées en concordance avec les définitions du domaine d’évaluation (DDE) produites par le Ministère.
Afin de soutenir le réseau dans le processus d’élaboration de versions équivalentes, la DEAFC met à votre disposition des outils de formation relativement à l’élaboration d’instruments d’évaluation dans la section S’outiller pour évaluer de l’onglet Formations. Vous y trouverez une démarche d’élaboration d’instruments d’évaluation, des gabarits d’épreuve, de même qu’une grille de validation des instruments d’évaluation.
Non. Étant donné la difficulté de baliser et de contrôler l’utilisation des dictionnaires, le Ministère ne peut pour l’instant autoriser l’utilisation de tout dictionnaire durant l’évaluation en mathématique.
Non. Malgré la fermeture prochaine des codes de cours associés à ce programme, il est interdit d’utiliser les anciennes épreuves aux fins d’activités pédagogiques en classe. La confidentialité de ces épreuves doit donc être préservée, au même titre que toute autre épreuve aux fins de sanction.
L’aide-mémoire est avant tout un outil d’aide à l’apprentissage. Dans ce contexte, il doit être rédigé strictement par l’adulte sur un support papier de dimensions 8,5′ x 11′. Selon les définitions du domaine d’évaluation ainsi que les guides d’administration des épreuves, l’aide-mémoire doit être d’une longueur maximale d’une page (recto) et être élaboré de façon manuscrite ou électronique (grosseur de police minimale de 12 points à simple interligne). Il peut comporter des exemples élaborés par l’adulte, des stratégies à utiliser ou encore, des formules mathématiques.
Une fois approuvé par l’enseignante ou l’enseignant, il est directement remis à la personne responsable de la salle de tests puisqu’il fait partie intégrante de l’évaluation et doit être dorénavant considéré comme tel. Ainsi, après l’approbation par le personnel enseignant, l’adulte ne pourra consulter son aide-mémoire que lors de la passation de son épreuve.